Joga Bonito

Les deux anciens joueurs du PSG Jay-Jay Okocha et Bruno Ngotty ne feront plus partie de l’effectif de Bolton la saison prochaine. Ils sont en fin de contrat. L'international nigérian Jay-Jay Okocha et le Français Bruno Ngotty ne feront plus partie de l’effectif de Bolton la saison prochaine. « Personne n'oubliera leur contribution, a écrit l’entraîneur Sam Allardyce sur le site internet du club (www.bwfc.co.uk). Jay-Jay et Bruno ont apporté leur expérience et qualité au club. Mais nous voulons réduire la moyenne d'âge de l'effectif et c'était une décision très difficile de ne pas les garder. » Okocha était à Bolton depuis quatre ans, alors que Ngotty était arrivé en janvier 2002. Le contrat des deux joueurs est arrivé à son terme.

Teddy Richert, le gardien de Sochaux, pourrait bien quitter le club en fin de saison. S'il y a une proposition intéressante et qui me plaît sportivement, je pourrais partir » déclare ainsi le joueur dans les colonnes de l’Est Républicain. Dans son édition du lundi, l’Est Républicain annonce que Teddy Richert, le gardien de Sochaux, pourrait quitter le club en fin de saison. « Sincèrement, je n'ai pas pris de décision. C'est du 50/50. S'il y a une proposition intéressante et qui me plaît sportivement, je pourrais partir » déclare ainsi le joueur dans les colonnes du quotidien. Mais Teddy Richert pourrait finalement très bien rester : « Je suis très attaché à ce club et s'il y a une opportunité de continuer, je continuerai. J'ai bien entendu, je suis content que les gens aient envie que je reste l'an prochain, ça pèsera dans la balance ! » Des discussions vont être entamées avec Jean-Claude Plessis dans les jours à venir. N.B.

Déjà envisagée en janvier dernier, la piste Johan Micoud a été réactivée par le club parisien. Le joueur, qui souhaite quitter Brême en fin de saison pour connaître un dernier challenge, plait beaucoup à Guy Lacombe. Le PSG lui tend les bras. Johan Micoud veut revenir en France. Ce dimanche sur TF1, lors de l’émission Téléfoot, le milieu de terrain français du Werder Brême a d’ailleurs été explicite. « Ça fait quatre ans que je suis ici et je crois que j'ai tout fait pour ce club. Maintenant, je veux revenir en France. C'est vrai qu'une aventure en Angleterre me tenterait aussi mais ma priorité est de revenir en France. » Reste à trouver la destination finale si effectivement transfert il y a en fin de saison. Bordeaux ? « J'ai de bons souvenirs là-bas mais je n'ai aucun contact concret avec le club », a-t-il confié dans l’émission dominicale. Alors qui d’autre ? Le Paris Saint-Germain ? Guy Lacombe serait en effet très intéressé par le profil de ce joueur qu’il connaît très bien pour l’avoir entraîné dans sa jeunesse à l’AS Cannes. L’entraîneur du club parisien, conforté dans ses fonctions il y a quelques semaines, aurait même eu des contacts téléphoniques directs avec le joueur. Il lui aurait notamment expliqué son ambitieux projet et la façon dont il aimerait le voir évoluer dans l’entrejeu parisien. Fort d’une qualification en Coupe de l’UEFA et d’une politique de recrutement à la hauteur (probable arrivée de Trabelsi et de Landreau, deux joueurs libres, et assurance de la présence de Pauleta), ce discours n’aurait pas laissé insensible Johan Micoud. Déjà en janvier dernier, des rumeurs similaires avaient circulé. Le Werder Brême, toujours à la lutte à l’époque avec le Bayern Munich pour décrocher un titre de champion de Bundesliga, n’avait pas laissé partir un joueur indispensable. Un joueur crédité de huit buts et quatorze passes décisives en cette fin de saison. Reste à financer cette éventuelle arrivée. Pour cela des joueurs « cadres » pourraient être vendus. On pense notamment à Modeste M’Bami qui possède un bon de sortie pour le prochain Mercato. Mais aussi à Mario Yepes, le défenseur central colombien, que le club parisien pourrait laisser partir en Italie (les clubs milanais le suivent de près). Autre joueur à valeur marchande sur le départ : Bernard Mendy. L’arrivée d’un joueur de la qualité de Trabelsi (Ajax d’Amsterdam) n’est pas pour le rassurer sur son avenir et il pourrait aller poser ses valises en Angleterre. Avec la vente de ces joueurs, le PSG se passerait alors de quelques gros salaires et disposerait d’assez de liquidités pour faire venir Johan Micoud. Entre autres.

Le milieu de terrain du Real Madrid Zinédine Zidane a rendu hommage à son ex-équipier des Bleus et de Bordeaux, Bixente Lizarazu sur l’antenne de Canal+, ce qui a ému aux larmes le latéral gauche. Zinédine Zidane : Je n’ai pas envie de lui dire grand chose, seulement bravo pour ce qu’il a fait et pour ce qu’il est. J’ai connu un homme intéressant, je l’ai connu à Bordeaux, c’est quelqu’un qui m’a appris beaucoup de choses. C’est un mec qui ne lâche rien, un combattant de la première à la 90eme minute. Je me souviens de lui à Bordeaux avec ses montées et ses centres. Nous avons pas mal de choses en commun avec la Coupe du Monde et l’Euro 2000. Qu’il profite bien, je suis ravi d’avoir connu un gars comme lui. ODLB

Quelques jours après l’annonce de sa prochaine retraite, Zinédine Zidane est revenu sur zidane.fr sur sa fin de saison. Le meneur de jeu des Bleus ne veut pas entendre parler de jubilé à Bernabeu ou au Stade de France. Seulement du Mondial. Zinédine Zidane, après avoir annoncé publiquement la fin de votre carrière après la Coupe du Monde puis après avoir dit au revoir à la presse espagnole, vous teniez à préciser que ce n’était pas encore vos adieux… J’espère, comme tout le monde, faire mes adieux le 9 juillet. Mais je voulais simplement dire que la saison à venir se fera sans moi. C’était le message que j’avais envie de faire passer avant cette Coupe du Monde pour ne penser qu’à cela. Il ne faut pas croire que l’annonce de ma fin de carrière va me démotiver. Bien au contraire. C’est un soulagement pour moi de m’être exprimé sur ce sujet. Je me dis que j’ai cette Coupe du Monde en point de mire et que c’est l’objectif qui me reste à atteindre. Avez-vous été ému par la standing-ovation réservée par les journalistes espagnols ? Oui. Ça m’a touché de voir tout ce monde pour une conférence de presse. Cela veut dire que les gens ont prêté attention à ce que j’avais à leur dire. Beaucoup de témoignages insistent sur votre personnalité qui n’a pas changé en dix-sept ans de carrière… C’est surtout important par rapport à ma famille, à mes parents et à l’éducation que j’ai eue. La personne, c’est ce qui reste. Le joueur de foot, il passe et il s’en va. Le plus important, c’est qu’on se souvienne de moi en tant qu’homme et en tant que personne respectable. « Que je sois à 100% de mes possibilités » Vous avez tout gagné. Q’est-ce qui vous pousse encore à vouloir disputer cette Coupe du Monde ? Je ne sais pas. Quelque part, je me dis que ce n’est pas le hasard de finir ma carrière lors du Mondial. Je vais donc essayer de me concentrer et de me préparer comme j’ai pu le faire en 1998 et en 2000. Et je me dis qu’il y a quelque chose à faire. Ce qui est important, c’est que je n’ai pas de pépins physiques. Que je sois à 100% de mes possibilités. Si c’est le cas, je ferai quelque chose de grand dans cette Coupe du Monde. Avez-vous géré votre physique cette saison ? Je ne sais pas si j’avais réussi à m’économiser en 1998 mais peut-être que ma détermination était plus importante que la fatigue accumulée tout au long de la saison. Même chose en 2000. Maintenant, je n’ai plus les 25 ans que j’avais à la Juventus et les 29 ans lors de mon arrivée à Madrid. Il y a quelques petites douleurs mais je me sens capable pour relever ce défi. Un défi sportif mais aussi humain dans ce rôle de capitaine… Il faut que cela soit naturel. Je dois simplement être moi-même. « Ce ne sera pas un au revoir, ni un adieu » Avant les Bleus, il y aura cette énorme fête le 7 mai à Bernabeu pour votre dernier match dans ce stade sous le maillot du Real Madrid. Avez-vous un message à adresser à tous ceux qui vont faire le déplacement pour vous rendre hommage ? Je veux leur dire merci de m’avoir soutenu tout au long de ma carrière. C’est le plus important. Je veux leur dire qu’ils viennent en nombre pour ce dernier match avec le Real Madrid. Ce sera une belle fête. Le club a prévu de faire quelque chose d’important. J’en suis touché. Vous fêterez ensuite votre 100eme sélection face au Mexique dans un Stade de France qui est un peu votre jardin… C’est un stade mythique. Un stade assez spécial pour moi puisque c’est le terrain où j’ai débuté une aventure avec l’équipe de France en marquant lors du match d’inauguration. Après, il y a eu ces buts en finale du Mondial. J’ai un rapport particulier avec ce stade et j’espère que pour ma centième, ce sera une belle fête pour tous les gens présents. Une belle fête mais pas votre jubilé… Ah ça non ! Il ne faut pas que ce soit dans ce sens-là. Ça sera mon dernier match au Stade de France mais pour moi, ce sera le début de quelque chose. Tout ce que j’ai fait de bien et de mal, je vais le laisser pendant un mois et demi pour cette Coupe du Monde. Ce ne sera pas un au revoir, ni un adieu. Je n’attends pas de paroles de soutien par rapport à ce dernier match. Comment appréhendez-vous le programme de préparation ? Il y a encore des choses qui doivent se discuter. Mais je pense que toute l’équipe - les joueurs comme le staff - fera ce qu’il faut pour que l’équipe de France soit mise dans les meilleures conditions. Pour un objectif : aller le plus loin possible. « En regardant ce film, on a l’impression d’être Zidane sur un terrain » La Coupe du Monde est la compétition idéale pour écrire une nouvelle belle histoire… Il n’y a pas mieux, c’est clair. Et même si on ne va au bout, il ne faudra pas avoir de regrets. Le foot n’est pas une science exacte. Ce n’est pas toujours le meilleur qui gagne. Mais on va tout mettre en oeuvre pour le faire. On a une bonne équipe, un bon groupe. Maintenant, il ne faut plus parler mais se concentrer sur le terrain pour donner le meilleur à l’équipe. Avant la compétition, vos supporters auront l’occasion de découvrir un film particulier : Zidane, un portait du 21eme siècle… Un film assez étrange. Je l’ai vu et c’est pour ça que je me permets de dire ça. C’est quelque chose de magnifique pour moi. Il faut le voir. J’engage tout le monde à pouvoir le voir car c’est vraiment filmé et sonorisé comme jamais on a pu le faire pour un footballeur sur un terrain. Même moi j’ai été assez impressionné par les images et surtout par le son. En regardant ce film, on a vraiment l’impression d’être à ma place, d’être Zinédine Zidane sur un terrain. On entend même le bruit du crampon sur la pelouse. C’est assez spécial. Pourquoi avoir accepté ce projet ? Au départ, c’était parce que c’était un film sur le foot. Si on m’avait dit de faire l’acteur, j’aurais dit non. Le projet, c’est de se dire que c’est quelque chose qu’on n’a jamais vu et qu’on ne verra peut-être plus jamais. Quand j’ai vu les réalisateurs, ça m’a enthousiasmé. L’aventure a commencé et aujourd’hui, le film va sortir. Et il sera à Cannes. Cela vous fait quelque chose de vous retrouver à Cannes ? Oui mais surtout de me voir sur une affiche de cinéma. Ce n’est pas coutumier. On a bien vu votre portrait sur l’Arc de Triomphe à Paris… (Rires) Forcément, c’est impressionnant. Ce que j’aimerais, c’est que les gens puissent pouvoir le voir pour donner leur avis. J’espère que cela leur fera la même émotion qu’à moi. « Envie de partager des moments avec les Algériens » Un mot pour ne pas oublier ELA. Vous adresserez un message lors de la 37eme journée à tous les spectateurs de L1 pour rappeler que la lutte continue… Tout à fait ! Il y a des choses bien plus importantes que moi. On parle beaucoup de moi et de mon actualité. Mais quand on regarde les informations, on voit que ce n’est pas très facile pour beaucoup de gens. Cette journée-là, importante pour ELA, permettra je l’espère d’apporter quelque chose à toutes ces familles qui sont tous les jours à la recherche de soutien. Après le Mondial, il y aura aussi un voyage en Algérie… J’attends ça avec impatience. Pas pour connaître car je connais déjà mon pays d’origine. J’y suis allé quand j’étais plus petit. Mais j’ai envie d’y aller pour découvrir ce pays profondément. Ce sera plus qu’un voyage. J’ai envie de connaître ce pays de fond en comble, de connaître les gens. Les Algériens m’ont toujours soutenu haut et fort et maintenant, j’ai envie de partager des moments avec eux. Vous allez également avoir le temps de vivre… Oui, je vais connaître autre chose. Des choses que je n’ai pas pu avoir ou connaître par le passé car le foot était très présent. J’ai envie de profiter des moments qui vont m’être accordés dans cette nouvelle vie. Cela passe par l’Algérie, par ma famille…

Le suspense n’a plus cours. Jurgen Klinsmann a annoncé le nom de son gardien numéro un pour le Mondial 2006. Il s’agira de Jens Lehmann, qui a pris le dessus sur le portier titulaire Oliver Kahn. Une page s’est tournée. La Une du journal à grand tirage Bild est sans appel : « Klinsmann a tué le roi Kahn ». Vendredi, lors d’une conférence de presse, le sélectionneur allemand a annoncé la nouvelle au grand public après en avoir fait part à Munich à Oliver Kahn. Le gardien de la Nazionalmannschaft, ce ne sera pas lui lors du Mondial allemand. Si sûr de lui, le bouillonnant Kahn n’imaginait pas qu’on oserait le déboulonner de son piédestal. Mais Jens Lehmann y est parvenu. L’excellent parcours d’Arsenal en Ligue des Champions n’y est pas étranger, l’Allemand brillant à Madrid ou face à Turin alors que son comparse munichois prenait l’eau avec le Bayern à Milan. « Il y a presque un an, en août, Oliver était devant mais Jens a très bien joué ces derniers mois et actuellement, il est devant Oliver. Nous estimons qu'il est un chouia plus fort », a expliqué Klinsmann, qui espère qu’en fixant dès aujourd’hui le nom de son gardien, ses défenseurs sauront comment jouer et mieux jouer. Après un bon match nul en France, l’Allemagne a pris quatre buts en Italie avec Lehmann dans la cage. Très critiqué mais finalement soutenu par les hautes autorités sportives et politiques allemandes, l’ancien joueur de Monaco a donc tranché, quitte à se priver définitivement de Kahn puisque celui-ci annonce qu’il réfléchit à son avenir au sein de la sélection. En clair, le poste de doublure ne l’intéresse pas. A 36 ans et 29 sélections, Jens Lehmann lui ne se soucie pas des états d’âme de son rival qu ne l’a jamais épargné. Il s’apprête à vivre la fin de saison la plus excitante de sa vie. Une demi-finale de Ligue des Champions avec les Gunners, une Coupe du Monde avec l’Allemagne chez lui : que rêver de mieux ? Désormais, les Allemands ont choisi. Les Espagnols et surtout les Français le feront-ils aussi tôt ? La presse espagnole hésite entre Santiago Canizares et Iker Casillas. En France, le sélectionneur Raymond Domenech garde pour lui qui de Fabien Barthez ou de Grégory Coupet gardera l’accès du but. Les Allemands, eux, savent.

Présent à l’Olympia dimanche pour recevoir un trophée UNFP d'honneur pour l'OL, Jean-Michel Aulas juge la polémique autour du match face à Lille stérile. « C'est faire injure aux joueurs » estime le président lyonnais que de dire que Lyon a faussé le championnat. Jean-Michel Aulas, on vous accuse d'avoir faussé le Championnat à Lille. Qu'en pensez-vous ? Ce n'est pas bien de jeter la suspicion. C'est complètement inutile et ça ne rime à rien. C'est faire injure aux joueurs d'imaginer des choses comme ça. Cela remet en cause la probité des joueurs et des entraîneurs. José Anigo a été entraîneur et il ne peut pas imaginer ça... Il fait fausse route. Si vous aviez vu la tête de mes joueurs à la mi-temps et à la fin du match, vous auriez vu qu'ils ont tout donné. Le problème, c'est que ce sont des gens qui n'étaient pas au match qui parlent. Comprenez-vous quand même que Marseille, Lens et Rennes s'estiment lésés ? Je comprends leur position mais c'est une polémique stérile et tous les gens intelligents l'ont compris. Marseille n'a pas été capable de battre un relégué à domicile (2-2 contre Strasbourg) et Lens n'a pu s'imposer au Mans (0-0). Et je crois que Marseille a encore la possibilité de se qualifier pour la Ligue des Champions. J'apprécie l'OM et je serais heureux qu'ils nous accompagnent en Ligue des Champions. Comment expliquez-vous ce revers ? On avait vraiment envie de battre Lille. On avait quand même deux défenseurs qui vont peut-être être au Mondial (Abidal et Réveillère) mais il faut savoir qu'on est tombé sur un Odemwingie exceptionnel et sur une très grande équipe de Lille. Je ne sais pas si Marseille serait venu gagner ici. C'est vrai qu'au milieu, on a été un peu moins bien. Gérard Houllier m'avait prévenu qu'il voulait faire jouer tout le monde avant le dernier match à Gerland. C'est son choix.

Zinedine Zidane a annoncé ce mardi soir qu’il mettrait un terme à sa carrière à l’issue de la Coupe du Monde 2006 en Allemagne. Raymond Domenech (photo) nous livre son sentiment suite à la décision du meneur de jeu de l’Equipe de France. "Comme tous les amoureux du football, je suis un peu triste à l’idée qu’après la Coupe du Monde 2006 en Allemagne, nous ne reverrons plus Zinedine sur un terrain, au plus haut niveau en tout cas. Par son immense talent et ses multiples exploits, Zizou a marqué pour l’éternité l’histoire du football français et international. Le fait d’annoncer dès maintenant sa retraite va lui permettre de bien préparer le Mondial et de pouvoir jouer l’esprit tranquille. Je sais qu’il a très envie de réussir une grande phase finale en Allemagne et je suis convaincu qu’il lui reste encore la plus belle page de son histoire sportive à écrire : gagner une nouvelle Coupe du Monde avec les Bleus".

Voici des Images de Football

Cette fois a partir d aujourd hui je vais mettre des videos de football sur ce blog.

En voici : jogaformepart1.gvp

et d autre :Top10Golsworldcuppur.gvp

ThierryHenry.gvp